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Regroupez vos crédits et réduisez vos mensualités

La période de la rentrée est synonyme de renouveau mais surtout de dépenses. Entre les remboursements de crédits, les frais scolaires ou encore les impôts, on se retrouve facilement dans une mauvaise passe financière dont on peut avoir du mal à se sortir.
Le rachat de crédits peut être une solution pour soulager ses fins de mois. Grâce au regroupement de vos prêts, vous pouvez réduire jusqu’à 60% vos mensualités en renégociant leur taux et en allongeant la durée de remboursement.

Evolution PTZ+ zone C et B2

Le président de la République Emmanuel Macron a annoncé vendredi plusieurs concessions au secteur du bâtiment, en particulier sur le Prêt à taux zéro. Le PTZ devrait finalement être maintenu pour les projets immobiliers dans le neuf dans les zones les moins tendues, B2 et C, en 2018 et 2019, mais l’aide publique sera tout de même amoindrie.

Le gouvernement prévoyait de supprimer le PTZ dans les zones où le marché immobilier est le moins en tension. Cette aide sera finalement conservée, dans un format réduit, a précisé le chef de l’Etat à l’occasion d’un salon professionnel organisé par la Fédération française du bâtiment. Le secteur s’inquiète depuis plusieurs semaines du gigantesque coup de rabot budgétaire qui le menace : outre la réduction du PTZ, l’exécutif prévoit une baisse généralisée des aides personnalisées au logement (APL) et la fin du crédit d’impôt transition énergétique (CITE) pour les portes et fenêtres.

« Je vous ai entendu et j’ai aussi entendu les maires ruraux qui nous ont alertés sur le fait que ça pouvait, chez eux, freiner l’activité, en tout cas donner le sentiment d’une fracture qui pouvait s’installer », a expliqué le président de la République. « Ce que je demande au gouvernement, c’est de garder la philosophie d’ensemble de la réforme, mais que sur le PTZ en zones B2 et C [les moins tendues, NDLR], on puisse ouvrir très rapidement, la semaine prochaine, une concertation », a-t-il poursuivi.

« Un taux à 20% ne créerait pas une rupture »

L’issue de cette discussion fait peu de doute, puisque le président de la République a estimé qu’un « taux à 20% ne créerait pas une rupture », en faisant référence à la quotité, c’est-à-dire la part du montant de l’achat pouvant être financé à taux zéro. Puis il a répété : « Un PTZ à 20% en B2 et C », déclaration qui a été suivie d’applaudissements de la part des professionnels présents sur ce salon.

Actuellement un PTZ peut financer jusqu’à 40% d’un achat immobilier. Au lieu de la suppression envisagée, l’Elysée a donc décidé de couper la poire en deux. Le chef de l’Etat n’est pas entré dans le détail concernant le PTZ dans le neuf ou l’ancien avec travaux mais il évoquait sans grande ambiguïté le PTZ dans l’immobilier neuf. Autrement dit, sauf surprise, le PTZ serait maintenu partout sur le territoire dans le neuf, avec des zones où le montants financés seront moindres, et il devrait se concentrer sur les zones B2 et C pour l’ancien avec rénovation.

Quelques heures plus tard, lors d’une conférence sur « Les 40 ans de la politique de la ville », le ministre de la Cohésion des territoires Jacques Mézard a confirmé l’annonce du chef de l’Etat sur le PTZ. Et il a précisé que ce maintien du PTZ « neuf » dans les zones B2 et C serait valable pendant 2 ans, soit en 2018 et 2019.

Les emprunteurs négligent encore trop l’importance de l’assurance de prêt

Les emprunteurs négligent encore trop l’importance de l’assurance de prêt
Ouvert du : Lundi – Vendredi 9h – 18h

23/06/2017

Les Français considèrent que le taux d’intérêt est le premier critère à prendre en compte dans une demande de prêt immobilier. Ils ont en partie raison, ils ont en revanche tort de négliger l’assurance emprunteur comme le révèle un récent sondage. Cependant, son poids représente environ 30% du coût total du crédit immobilier ! La tâche des courtiers est grande pour mieux informer quant à l’importance de l’assurance dans le financement d’un projet immobilier. Ils peuvent désormais compter sur la fiche d’information standardisée que la loi vient enfin de modifier suite à l’adoption de la substitution annuelle.

Les Français connaissent mal l’assurance de prêt

Un sondage Odoxa-LinXea-Les Echos réalisé fin mai 2017 sur le crédit immobilier révèle que le premier élément pris en compte par les emprunteurs lors d’une demande de crédit est le taux d’intérêt. Rien de surprenant, puisque la communication des organismes de crédit, relayée abondamment par les médias, met en avant le niveau des taux et uniquement ce paramètre. Seules 15% des personnes interrogées considèrent que l’assurance de prêt est un critère important. On mesure ici l’immense déficit d’information à destination du grand public en matière d’assurance emprunteur depuis l’entrée en vigueur de la loi Lagarde sur la délégation d’assurance.

La FIS contient le droit de substitution annuelle

15% c’est aussi peu ou prou la part d’assurances souscrites en dehors du réseau bancaire. Malgré un arsenal législatif censé faciliter le libre choix de l’emprunteur, les assurances individuelles peinent à décoller. Toujours selon ce sondage, 36% connaissent l’existence d’une nouvelle disposition en leur faveur, la substitution annuelle de l’assurance de prêt. Parmi ces derniers, 8% auraient l’intention d’en profiter.

Une loi qui reste inconnue ou méconnue de ceux pour lesquels elle a été conçue manque sa cible. La réforme de l’assurance de prêt a pour finalité d’instaurer une concurrence saine du marché, et agit ainsi au bénéfice du pouvoir d’achat des consommateurs. Le Comité Consultatif du Secteur Financier a prévu d’éditer et diffuser prochainement un document d’information à destination des emprunteurs pour leur rappeler leurs droits. Cela viendra compléter la fiche d’information standardisée (FIS) qui devra, à compter du 1er octobre, indiquer le droit de substitution annuelle pour tous les emprunteurs*.

*réf/arrêté du 14 juin 2017 modifiant l’arrêté du 29 avril 2015 précisant le format et le contenu de la fiche standardisée d’information relative à l’assurance ayant pour objet le remboursement d’un prêt – JORF n°0141 du 17 juin 201

Le Cabinet Place du Courtage vous informe

Le savez vous
Devenez propriétaire et profitezdu Prêt d’Accession Sociale (PAS), vous ouvrant droit, à l’Aide Personnalisée au Logement (APL). sous certaines conditions Attention : Il vous est accordé uniquement pour l’acquisition d’une résidence principale (*hors frais de notaire et frais annexes).
Notre avis : L’accession au prêt PAS exige une expertise de la situation pour chaque emprunteur. C’est une affaire de spécialiste.

  • Notre conseil : Christophe GRISET sont à votre disposition, et vous indiqueront les modalités de ce prêt en vous précisant si votre situation vous rend éligible ou non, au prêt PAS.

Près d’un Français sur trois rembourse un crédit immobilier

Portée par les taux bas, la production de crédit immobilier a atteint des sommets en 2016. Résultat : la part de ménages remboursant actuellement un prêt à l’habitat est en légère hausse, à 30,7%. Une progression avant tout soutenue par les achats de résidence principale.
29% à 32%. Jamais, depuis le début des années 2000, la part de Français détenant un prêt immobilier ne s’est écartée de cette fourchette selon le dernier observatoire des crédits aux ménages (1). De façon très constante, un peu moins d’un tiers des Français s’est donc endetté pour l’acquisition d’un ou de plusieurs biens immobiliers. Toutefois, en 2016, année record en termes de production, cette proportion est plutôt en haut de la courbe. Après avoir atteint un sommet à 31,4% en 2012, ce taux de détention est retombé à 30,2% en 2015, et il a entamé un léger rebond en 2016, à 30,7%. Fin 2016, près de 9 millions de ménages français détiennent un crédit à l’habitat selon cet observatoire.
Un rebond principalement dû à la part de ménages finançant l’acquisition de leur résidence principale : elle remonte de 22,6% en 2015 à 23,3% en 2016, soit « un des niveaux les plus élevés observés depuis le début des années 2000 » comme le souligne la Fédération bancaire française (FBF) dans son communiqué.
Une part encore plus importante fin 2017 ?
Depuis, les taux immobiliers ont suivi la même courbe, celle d’une légère remontée, à la fin de l’année 2016 et surtout en ce début 2017.
Suffisant pour couper la progression du nombre de ménages détenant un prêt immobilier ? Non, à en croire cette étude. Ce léger rebond des taux, qui était annoncé depuis plusieurs mois, devrait être lent et régulier. Les sondés ne se montrent ainsi « guère inquiets par l’évolution à venir des taux d’intérêt » selon l’observatoire, lié à la FBF : « Les ménages font preuve d’un regain d’optimisme et ils envisagent de souscrire encore plus largement des crédits immobiliers dans les prochains mois : 5,4% des ménages le déclarent, soit un pourcentage en progression rapide sur un an [4,6% fin 2015, NDLR]. » La part de Français souhaitant souscrire un crédit immobilier s’approche ainsi du niveau enregistré juste avant la crise de 2008-2009.

(1) 29e observatoire des crédits aux ménages, enquête postale réalisée par l’institut TNS Sofres en novembre 2016 auprès de 13.000 ménages (taux de réponse de 77,1%).
En savoir plus sur http://www.cbanque.com/…/pres-un-francais-sur-trois-rembour…